Es-tu un(e) chef(-fe) ?
Week-end frileux, j'avais raison hier....
du froid, des chutes de neige,
voire des tempêtes sur certaines régions
Alors évadons-nous, lecteur(-trice) !!
HOP dans les airs
et si possible bleus
je viens de recevoir d'une zélée informatrice
une montgolfière
et une petite histoire que je ne peux garder pour moi.
Tu sais bien que pour me réchauffer, je fais feu de tout bois,
et, si tu n'as pas grand chose à faire aujourd'hui,
tu pourras toujours réfléchir.....
On pourrait l'intituler : L'ingénieur et le chef
Science et management Un homme, dans la nacelle d’une montgolfière ne sait plus où il se trouve.
Il descend et aperçoit une femme au sol. Il descend encore plus bas et l’interpelle : « Excusez-moi ! Pouvez-vous m’aider ? J’avais promis à un ami de le rencontrer et j’ai déjà une heure de retard car je ne sais plus où je me trouve. » La femme au sol répond : « Vous êtes dans la nacelle d’un ballon à air chaud à environ 10 m du sol. Vous vous trouvez exactement à 49°28’ 11’’ Nord et 8°25’ 58’’ Est ». « Vous devez être ingénieur » dit l’aérostier. « Je le suis », répond la femme, « comment avez-vous deviné ? » « Eh bien », dit l’aérostier, « tout ce que vous m’avez dit à l’air techniquement parfaitement correct, mais je n’ai pas la moindre idée de ce que je peux faire de vos informations et en fait je ne sais toujours pas où je me trouve. Pour parler ouvertement, vous ne m’avez été d’aucune aide. Pire, vous avez encore retardé mon voyage. » La femme lui répond : « Vous devez être un chef. » « Oui, » répond l’homme avec fierté, « mais comment avez-vous deviné ? » « Eh bien », dit la femme, « vous ne savez ni où vous êtes, ni où vous allez. Vous avez atteint votre position actuelle en chauffant et en brassant une énorme quantité d’air. Vous avez fait une promesse sans avoir la moindre idée comment vous pourriez la tenir et vous comptez maintenant sur les gens situés en dessous de vous pour qu’ils résolvent votre problème. Votre situation avant et après notre rencontre n’a pas changé, mais comme par hasard, c’est moi maintenant qui à vos yeux en suis responsable ! »