Les écureuils....
Les écureuils de Central Park sont-ils tristes le lundi ?
PROBLEME EXISTENTIEL
n'est-ce pas, lecteur(-trice) ?
THAT IS THE QUESTION
Et maintenant, la réponse.....
Katherine Pancol nous l'affirme dans le titre du troisième roman consacré à Joséphine Cortès, sa famille et ses ami(e)s après les crocodiles puis les tortues.
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
Mais l'écureuil pour sa part conclut par la négative à la page 848 :
"L'écureuil gris, sur le pas de la cabane, les contemplait en rongeant sa cacahuète.
Il devait se dire que les lundis, dans Central Park, n'étaient pas si tristes finalement..."
Page 848....... La boucle est bouclée pour ce troisième volume publié chez Albin Michel; conclusion ouverte et qui laisse toute latitude à une suite....
Un gros pavé agréable pour ceux et celles qui aiment se plonger dans un roman et qui ont suffisamment de force dans les poignets;
on y retrouve avec plaisir Joséphine et ses filles au centre de l'intrigue; deux générations avec leurs problèmes et leurs amours. Le temps passe....
Encore quelques longueurs cependant, des passages répétitifs (descriptions et réflexions) qui alourdissent le livre, au sens propre comme au sens figuré.Je te laisse les découvrir, lecteur(-trice), pour que tu ne me reproches pas de te révéler l'intrigue.
A noter la "réhabilitation" de Junior qui m'avait agacée dans le tome précédent... Me suis-je habituée ? Est-il mieux intégré, plus utile à l'histoire, l'âge venant ?
Au total une bonne lecture estivale au milieu des traditionnels romans policiers, pour se changer les idées.
PS : Que l'écureuil me pardonne, celui de la photo n'est pas un habitant de Central Park mais un petit Québecois de Magog.....