Attention, lecteur-trice, n'oublie pas ...

Ce dimanche 27 mars, passage à l'heure d'été 

Après réflexion intense et moult cogitations...

comme dab

Tu dois avancer ton réveil d'une heure

d'où 1 heure de sommeil en moins ce jour-là

moins de luminosité dès potron minet  

 mais des soirées plus lumineuses

Tu as tout intérêt à prévenir ton entourage

Mais  en compensation,

pour te réveiller en douceur

ce dimanche, lecteur-trice, 

je t'offre cette pépite,

 de la part de Jacques Prévert

A lire et à relire...

Laisse-toi bercer ...

A bientôt, lecteur-trice...

Trop tard !!!

Elle y est tombée depuis longtemps...

Voici le résultat du jour 

Au menu de ce post,  

du léger... rien que du léger ...

en apparence du moins

Quelques réflexions sur le langage et la vie,

quelques conseils aussi

et une devinette !

A toi-e, lecteur-trice

d'en tirer la substantifique moelle !

Pour commencer, registre culinaire ...

tu noteras que les goûts changent suivant l'époque...

Quelques conseils pour essayer de mieux vivre

Un zest de vocabulaire avec deux néologismes 

à utiliser à bon escient

Une réflexion amèrement juste

Et pour terminer une devinette  

proposée par l'ami Jacques 

Jeu sur les mots qui t'entraînent dans leur logique,

petite phrase de rien du tout mais qui  en dit long...

 Prévert, ses ratons laveurs

et   Barbara la  Brestoise

QUELLE CONNERIE LA GUERRE

Mais appliqué à l'actualité, ce IL est saisissant

vire au tragique 

et me fait frémir.

Qui donc  est IL ?

A bientôt, lecteur-trice...

Eh oui, lecteur-trice,

je suis restée silencieuse ces derniers jours...

Comment parler le coeur serré ?

Mais aujourd'hui 20 mars 2022

c'est le printemps...

Et voilà ce qui me vient aux lèvres

UKRAINE

Ton printemps pleure

Printemps de guerre, printemps d'enfer,

Embaumant la désolation et la mort

Couvrant le sol de pierres et de gravats

Fleurs de béton rouge sang

Herbes de ferraille

Pétales de mitraille

Chant mutilant des explosions

Et cacophonie des sirènes

Les jours s'allongent 

Et s'allonge le cortège de faim de souffrances et d'effroi

Et s'allonge le martyr du peuple ukrainien.

A bientôt, lecteur-trice...

 COEUR D'ANGOISSE !

J'ai le coeur serré

depuis une semaine

depuis qu'un malade a décidé la guerre

depuis que souffre, se cache des bombes, 

s'exile et meurt  

le peuple ukrainien

depuis que sous le joug, subit le peuple russe 

J'AI PLUS QUE LES TROIS COEURS

DES POULPES POUR SOUFFRIR

VOS COEURS SONT TOUS EN MOI
 

JE SENS CHAQUE BLESSURE
 

Ô MES SOLDATS SOUFFRANTS
 

Ô BLESSES A MOURIR

écrivait Apollinaire dans les tranchées de 14-18

Et si je ne t'ai rien posté

depuis le temps d'avant la guerre, lecteur-trice, 

c'est parce que l'angoisse, la colère,

l'admiration, la peur ...

se partagent mon coeur...

Tu sauras , hélas,

qui visent ces différents noms....

Mais je veux  revenir sur "admiration" 

Admiration pour le peuple ukrainien

plongé dans la guerre, les souffrances, l'exil...

et pour sa résistance

Ma grand-mère ( 1901-1996)

me parlait des "évacué-e-s" :

elle en 14, arrachée à sa famille...

mon père quelque temps en 40

Paris-Bordeaux à vélo dans l'exode et sous la mitraille 

pour un jeune homme de 19 ans

et tous ces gens sur nos routes de France

qui fuyaient les soldats ennemis ...

Pour moi qui n'ai connu que la paix de l'Europe,

quelle déception de constater qu'un siècle plus tard,

 par la folie, la mégalomanie, etc... d'un dictateur

notre Europe et notre PAIX sont en danger...

Quel crève-coeur...

Admiration aussi, j'ose le dire,

pour notre Président de 40 ans

et sa capacité à tenir la barre...

à tabler sur l'union de l'Europe ,

à aider le peuple Ukrainien, 

à conserver son sang-froid 

à nous protéger

et à chercher une issue...

Quelles que soient ses failles et nos reproches 

en politique "de tous les jours",

la gravité de la situation me fait prendre conscience 

que j'ai de la chance de vivre en démocratie

et d'avoir un président  

qui "tient la route" au niveau international,

un jeune, tourné vers l'avenir...

pas comme certain-e-s minus

certain-e-s guignol-e-s 

passéistes 

et n'hésitant pas à trahir la vérité historique...

Bon, pardonne-moi, lecteur-trice,

moi qui ne pouvais pas écrire ces derniers jours,

voilà que je me déchaîne...

A part ça... reste sur tes gardes, lecteur-trice, 

guerre ou pas, les comploteur-se-s sévissent

A bientôt, lecteur-trice...