hommage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JANE

 

Je t’aime moi non plus

 

Ex fan des sixties petite baby doll

 

Comme tu dansais bien le rock’n’roll

 

 

Di doo dah

 

 

 

 

 

 

Tu as fait un grand pirouette

 

Tu as lâché le barre

 

Et tu nous fais une mal de chien !

 

 

 

 

 

 

Toi et Moi on a le même âge

 

Je t’ai toujours connue

 

toujours suivie de loin à tous nos âges

 

et je te pleure infiniment

 

au point que je n’ai rien pu écrire jusqu’ici

 

 

Tu as lâché le rampe cette 16 juillet

 

Oh pardon, tu dormais

 

Et c’est seulement aujourd’hui

que j'arrive à mettre des mots.

 

Ce sera maladroite, il y a tant d'indicible

 

 

Saleté de Chronos

 

Putain de mort

 

 

 

 

 

 

Je te voudrais au Panthéon

 

mais il y a trop de pisse-vinaigre

 

pour imaginer que cela se fasse

 

 

 

 

 

 

Pour moi tu es, tu seras toujours… la vie

 

 

 

Tu étais , tu es , la liberté

 

dans ton allure naturelle

toujours en mouvement,

frêle et forte,

androgyne et  féminine,

attirante, sensuelle

 

 

 

 

 

 

 

 

La liberté au delà des règles

 

Avec ta voix, du cristallin à la brisure et au souffle,

 

ton accent anglais enfantin et sexy

que tu as tjrs conservé  et certainement cultivé,

 

tes  errances entre les articles masculin et féminin

qui faisaient ta marque, ta langue à toi, ton charme...

 

Tu étais  liberté

 

dans ton mode de vie

 

en franc tireur,  

 

 

 

 

Tu as vécu tes passions sans te soucier

des convenances sociales

 

 

 

 

 

D'aucun-e-s te trouvaient  scandaleuse, superficielle,

 

juste une poupée, un jouet

 

dans l'ombre des hommes de ta vie

 

 

 

 

 

Quelle erreur !

 

tu fus leur révélateur

 

 et ils te doivent beaucoup ...

 

 

 

 

JANE

 

Tu as su vivre, aimer, chanter, jouer, dire et écrire 

 

 

Ex fan des sixtees

 

 

 

 

Notre Javanaise 

 

 

 

 

JANE

 

tu étais à la fois

 

Légèreté

 

Rire, joie, spontanéité,

 

Fantaisie  et mélancolie

 

 

 

Feu follet

 

mais aussi mère attentive 

 

 

Puis à la tête de ta tribu

 

 

 

Tu fus un Femme

 

à la coeur immense

 

et à l'immense générosité

 

Un femme exceptionnelle

 

Un artiste sans pareil 

 

 

Et même les peines, les drames, les tourments de ta vie, 

 

tu as eu l’élégance de les vivre

 

sans qu’ils altèrent ton image .

 

 

Tu es au Panthéon de mon cœur

 

avec  Jeanne, France, Romy et Barbara

 

 

Je ne baisse pas le rideau...

 

 

 

 

 

 

 

 

et pour toi-e, lecteur-trice, 

 

deux pépites ...

 

 

 

 

 

 

 

A bientôt, lecteur-trice...

Quel plus bel hommage

 

à notre J B P national

 

pour fêter ses 400 ans ?

 

je trouve géniale cette vignette de 

Philippe DELESTRE

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Delestre

 

 

 

 

Je te laisse le plaisir de traduire  les "énigmes"

et de les savourer...

 

 

A bientôt, lecteur-trice...

Encore un qui nous lâche et qui va nous manquer !

Quel dommage d'avoir à écrire  cet hommage...

 

Il a rejoint Les Autres au Paradis des Eléphants

Tout le monde fait ce jeu de mots, je sais

Il a fallu qu'il les rejoigne, eux et Danièle Delorme

parce qu'un éléphant ça trompe énormément !

et parce qu'il paraît que nous irons tous au paradis !

 

Le monde du cinéma français est en deuil après la mort de Claude Brasseur ce mardi 22 décembre à l’âge de 84 ans. Connu notamment pour ses rôles dans “Un éléphant ça trompe énormément” et “Les Seins de glace”, il a joué dans une centaine de films et remporté deux César. Il faut dire que l’acteur a toujours baigné dans le milieu, porté par une dynastie d’artistes remontant à 1820. Ses parents Pierre Brasseur et Odette Joyeux étaient également comédiens, et il eut un illustre écrivain pour parrain: Ernest Hemingway. 

En effet, son père était un ami du célèbre auteur américain, qu’il a incarné au théâtre et qui l’a choisi pour devenir le parrain de son fils. Dans l’émission “L’invité” de TV5Monde en 2016, Claude Brasseur se remémorait son enfance avec ce monument de la littérature (voir à partir 10:55 dans la vidéo ci-dessous).

Je recopie parce que... je n'ai pas trop envie d'écrire...

Il était le dernier de la bande. Une bande qui a enchanté le cinéma français et marqué plusieurs générations de spectateurs. Un éléphant, ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis ont fait rire des millions de Français. Après Jean Rochefort et Victor Lanoux, Jean-Loup Dabadie (scénariste des deux films), Guy Bedos et Claude Brasseur ont quitté la scène. L'acteur est mort ce mardi à l'âge de 84 ans. En octobre 1987, l'acteur qui a interprété Vidocq à la télévision, le père de Vic dans La Boum et Jacky dans la série des films Camping était l'invité de Thierry Ardisson dans l'émission Bains de minuit – émission disponible sur la chaîne INA ArdiTube. Claude Brasseur évoquait son état d'esprit et sa manière de vivre.

« J'aime bien rouler à fond la caisse dans la vie. Je peux dire une autre chose : je fais une grande différence entre les alcoolos et les ivrognes. Je ne suis pas un alcoolique […]. Je n'aime pas l'alcool mais de temps en temps j'aime bien l'ivresse et j'ai besoin de flirter avec le diable », explique-t-il alors que Thierry Ardisson le titille sur son amour des boîtes.

Fils de Pierre Brasseur (« Il n'y a que des clowns dans ma famille depuis 1820 »), le mythique comédien de théâtre, l'acteur revient sur les différences avec son paternel. Comment se situe-t-il face à lui, face à sa carrière ? « Je n'ai pas à me plaindre. Mon père a fait des navets, moi aussi. Il a tourné avec Prévert, j'ai eu la chance de tourner avec Renoir, Truffaut. Ce qui compte, c'est la moyenne. »

Cinéma, télévision, théâtre...

il était discret, mais partout,

incontournable !

quelques souvenirs en vrac

Et moi qui m'apprêtais à t'envoyer le post de NOEL...

Les réjouissances, ce sera pour demain

A bientôt, lecteur-trice...

Vu les ravages de l'odieux CHRONOS

dans le vivier de mes vedettes préférées,

je redoutais depuis longtemps

le moment où Juliette s'éteindrait.

Et voilà ! Ce moment détestable est arrivé !

Mais au Panthéon des artistes,

Juliette Gréco est immortelle !

Juliette Gréco,

la jolie môme à la voix  sensuelle et envoûtante,

qui a chanté les plus grands auteurs du XX,

 chansons qui me viennent au coeur et à la bouche

sans que je sache pourquoi, 

 que  je fredonne entre  nostalgie et mélancolie...

Comme elle j'ai horreur du mot Adieu

Alors je veux  lui  rendre hommage en lui donnant la parole.

Petit Florilège de titres ou de paroles que tu reconnaîtras...

Déshabillez-moi, chantait la Jolie Môme

Parlez-moi d'amour...

Ne vous déplaise, finie La Javanaise

Il n'y aura plus d'après à Saint Germain des Prés

Sa muse l'a quitté.

 

Si tu t'imagines, fillette, fillette

Qu'ça va qu'ça va ça va durer toujours 

 

Car il est bien court le temps des cerises...

Je suis comme je suis,

Je hais les dimanches...

 

Sous le ciel de Paris

Paris canaille

Un petit oiseau, un petit poisson 

S'aimaient d'amour tendre

 

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle

Tu vois je n'ai pas oublié...

 

Nous n'oublierons pas...

Je te laisse avec elle...

Picore au gré de ton humeur (et de ton temps libre)

AU REVOIR Juliette

AU REVOIR MADAME 

Vous m' habitez à jamais...

A bientôt, lecteur-trice...

Un petit coucou de ta déesse préférée

pour commencer le nouveau mois !!

 

 

 

 Certains sont au boulot

 

d'autres expriment leurs théories

 

D'autres encore sont en vacances, ici ou là... 

Activités variées !

Si en  voiture une pause s'impose

en août

c'est  le MASQUE qui rend fantasque

Mais n'oublions pas  notre amie Sibête

qui passerait, dit-on, un été studieux...

pardon, un été apprenant !!

-en Blanquer dans le texte-

Pour finir, passer d'un extrême à l'autre et du rire à la tristesse,

je veux rendre un  hommage très appuyé

à la grande Dame

qui nous a quittés voilà quelques jours.

 

 

Vibrant hommage pour ses batailles, 

son courage, son humanisme, son intelligence ...

A bientôt au Panthéon ?

MERCI MADAME

 

https://www.lepoint.fr/societe/gisele-halimi-avocate-et-figure-feministe-est-decedee-28-07-2020-2385838_23.php

Chronos est décidément détestable...

A bientôt, lecteur-trice...