Quand il est mort le poète
Quand il est mort le poète...
Voilà 15 ans,
le 13 mars 2010 mourait
JEAN FERRAT
à mes yeux et à mon coeur
le plus merveilleux
des compositeurs, auteurs, interprètes.
En ce mars-là j'étais amoureuse
et je chantai sans complexe
au Printemps des Poètes
Aimer à perdre la raison
C'est beau la vie
Que serais-je sans toi ?
Et Ferrat s'en alla
et grande fut ma peine...
Mais quand disparaissent
des artistes qui nous sont chers,
dont les voix et les mots
ont accompagné nos vies,
ils laissent à jamais
des joyaux pour nos coeurs
Et chez Ferrat la palette est complète
je t'en propose quelques unes...
tu cliques ou tu cliques pas...
suivant ton humeur
et ton temps libre
Chansons d'amour
Ma môme
Nous dormirons ensemble
Chansons de la vie,
de nos vies
On ne voit pas le temps passer
La Montagne
Ma France
Les cerisiers
Chansons de l'Histoire
Nuit et brouillard
Le cuirassé Potemkine
La Commune
Chansons qui ont donné
une nouvelle notoriété
aux poèmes d'Aragon
Les yeux d'Elsa
Devine
15 ans plus tard
je tremble et fonds toujours d'émotion
au son de sa voix, de ses mélodies,
aux images qui surgissent,
à la force et à la tendresse de ses mots
Et je remercie infiniment
Didier Barbelivien
de la sublime chanson
qu'il lui a consacrée
Jean de France
On pourrait écrire des pages
sur cet homme et artiste d'exception,
mais je te sais fort occupé-e,
lecteur-trice,
et je vais limiter mon propos.
Pourtant à l'approche du printemps
et du temps des cerises
je voudrais terminer
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par deux titres
de l'album
Ferrat 1980
dont il est auteur,
compositeur et interprète
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L'amour est cerise
et L'embellie,
un conseil à suivre
pour nous déconnecter un instant
du monde brutal et sordide
d'aujourd'hui,
dans lequel des truands et bandits
font leur loi.
A bientôt, lecteur-trice...